Après le cannabis médicament , les forces de l'ordre repérés par les dealers; George Soros doit savourer ses douces victoires.
Le financement de sa fausse enquête sur le preudo-contrôle au faciès, par les policiers soi-disant racistes, aura porté ses fruits.
Contre les syndicats de polices, contre la sécurité publique, contre la sécurité des policiers eux-mêmes, voici les policiers et les gendarmes bientôt fichés pour le bienfait des dealers et de leur financier George Soros.
Qui peut encore croire que le Ministre de l'Intérieur est un ministre efficace ?
( Dans une petite ville du Gers une femme gendarme en civil, en compagnie de sa très jeune fille, a été passée a tabac - "un avertissement pour toi et tes collègues" - lui aurait soufflée ses agresseurs.Bientôt les policiers des grandes villes seront repéres ) Aucun journal local n'a pu faire le compte rendu de cette agression... Soros, lui, a tous les pouvoirs.
CNID32
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Article Le Figaro
Retour du matricule : Manuel Valls confronté à la grogne des policiers
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/12/23/01016-20131223ARTFIG00655-retour-du-matricule-manuel-valls-confronte-a-la-grogne-des-policiers.php
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- Publié le 23/12/2013 à 19:42

Manuel Valls entend «bien que tous» les policiers et les gendarmes « portent» le matricule. Crédits photo : François BOUCHON/Le Figaro
Entrant en vigueur le 1er janvier, ce dispositif, censé rapprocher la police de la population, est dénoncé comme une « stigmatisation ».
Ras le képi. Ulcérés par ce qu'ils ont appelé le «flicage» de la plate-forme de signalements à l'Inspection générale de la police nationale (IGPN1, «police des polices»), ouverte pour «dénoncer» les mauvais comportements en quelques clics, les policiers avaient déjà défilé le mois dernier par centaines derrière l'Assemblée nationale pour dénoncer la réduction de l'ISSP, soit l'indemnisation de sujétions spécifiques de police, une prime de 100 à 200 euros par mois octroyée aux élèves policiers et gendarmes, en vue d'une économie budgétaire de douze millions d'euros.
Regroupés sous une banderole noire en signe de deuil, «Policiers sacrifiés = citoyens en insécurité», ils exigeaient pêle-mêle une revalorisation des primes pour les officiers de police judiciaire, clouaient au pilori la «loi Taubira2» renforçant l'impunité des voyous, le retard dans l'octroi des bonifications ou encore un cruel manque de moyens. On pensait la coupe pleine. Il n'en est rien. Les policiers, aiguillonnés par des syndicats déjà partis en campagne en vue des élections professionnelles, sont désormais vent debout contre le matricule que les forces de l'ordre devront arborer dès le 1er janvier sur l'uniforme ou les brassards. Promise par Manuel Valls 3tel un gage aux associations et aux partis de gauche qui ont réclamé en vain l'idée d'un récépissé délivré lors d'un contrôle d'identité, cette mesure a été rejetée il y a une dizaine de jours en commission paritaire à une rare unanimité par l'ensemble des syndicats de police, toutes tendances confondues, du gardien de la paix aux commissaires en passant par les officiers. Quasiment du jamais-vu.
Les racines de la grogne sont profondes. «Le port obligatoire du matricule est vécu par les collègues comme une stigmatisation outrageante! Tout le monde sait que c'est la contrepartie de l'abandon du récépissé, un temps imaginé pour lutter contre les contrôles au faciès, peste Frédéric Lagache, secrétaire général adjoint d'Alliance Police nationale4, fer de lance de la contestation. Accepter le port de ce matricule, c'est accepter l'idée que les policiers puissent agir en fonction de la couleur de peau. Cette idée, contraire aux lois républicaines, nous est insupportable. Ce soupçon est autant plus usant que notre institution est l'une des plus contrôlées de France: déjà par la fameuse “police des polices”, mais aussi par les magistrats ou encore le Défenseur des droits, qui peut être désormais saisi par n'importe quel citoyen…»
« Le matricule assurera la transparence de l'action des forces de sécurité . Ceux qui respectent la loi et le règlement déontologique n'ont par définition rien à craindre. L'idée est de restaurer le lien de confiance avec les citoyens.»
Pierre-Henry Brandet, porte-parole du ministère de l'Intérieur
Dans une morne atmosphère où ils déplorent un «manque de confiance», la base et les gradés revendiquent plus de soutien à l'heure où Beauvau leur demande d'être plus engagés sur le front d'une délinquance rugueuse, notamment dans les Zones de sécurité prioritaires (ZSP5) qui se multiplient à moyens constants.
Répétant que le port du matricule «n'est pas un signe de défiance», comme à l'occasion de la cérémonie des vœux de l'Association nationale d'action sociale (Anas), Manuel Valls prévient d'emblée que ce dernier n'a rien de facultatif. «J'entends bien que tous» les policiers et les gendarmes «le portent», a mis en garde le premier flic de France, droit dans ses bottes.
«Le matricule assurera la transparence de l'action des forces de sécurité, assure Pierre-Henry Brandet, porte-parole du ministère de l'Intérieur, où l'on veut euphémiser la tempête. Ceux qui respectent la loi et le règlement déontologique n'ont par définition rien à craindre. L'idée est de restaurer le lien de confiance avec les citoyens.» De fait, l'idée de «vivre ensemble» que promeut la Place Beauvau contraste avec les tumultueuses relations qu'entretiennent les unités d'intervention et une partie de la population. Une enquête du CNRS menée auprès de 13.500 adolescents par une équipe de sociologues rassemblés autour du chercheur Sébastian Roché en témoigne: 49 % des jeunes interrogés ont le sentiment que la police ne défend pas leurs valeurs. Près de 57 % pensent que l'on ne peut pas lui faire confiance. 33 % estiment que même dans le cas d'un problème grave, ils ne s'adresseraient probablement pas à la police. Environ 40 % d'entre eux jugent la police «raciste». Enfin, 40 % pensent que les policiers se livrent «souvent ou très souvent» à des contrôles abusifs. En novembre dernier, un sondage Ifop soulignait que seuls 14 % des Français considéraient les policiers comme «proches de la population». Le matricule, inscrit dans le cadre plus large d'un nouveau code de déontologie, suffira-t-il à retrouver la concorde perdue?
Inscrite en noir sur une bande de couleur gris perle, cette combinaison aléatoire de sept chiffres apparaîtra sur la boutonnière des policiers. Dans une lettre adressée à Manuel Valls, le Défenseur des droits, Dominique Baudis6, avait préconisé que le matricule, utilisable en cas de contentieux, soit «visible et aisément mémorisable». «Ceux qui n'ont pas de mémoire pourront toujours le photographier avec leur portable», note un magistrat parisien. Dans les rangs de la gendarmerie, cette nouvelle numérotation qui fleurira sur la manche n'a pas l'heur de susciter la moindre levée de boucliers. «Hormis quelques grincheux, résume un officier de terrain, cela ne changera pas grand-chose pour les gendarmes qui, en brigade, sont déjà connus physiquement et parfois même appelés par leur prénom…»
Les menaces nouvelles que va créer cette malheureuse initiative suscitée par un richissime dépénalisateur de la drogue est une catastrophe pour les policiers et la lutte contre la drogue.La sécurité des français est une nouvelle fois fragilisée.
Ils devront être de plus en plus courageux et la justice ne les aidera pas
Rédigé par : François | 24 décembre 2013 à 12:21
Et en plus ! Cette initiative va coûter 800 000 euros ?
C'est une honte alors que la délinquance augmente sur tous les tableaux.
Rédigé par : Patricia | 24 décembre 2013 à 14:33