Les consommateurs seront donc fichés.
Base de donnée pour les vendeurs de cannabis qui, avec l'aide du gouvernement complice , sauront quand il le faudra pour leurs intérêts, contacter, manipuler et faire réagir ces masses serviles pour modifier ou développer les achats , pétitionner et voter pour le développement de l'usage de drogues.
Le clientélisme politico-économique du lobby de la drogue en Uruguay permettra-t-il des priorités pour l'embauche , la subvention en faveur de groupes ou d'individus favorables et consommateurs de drogues.
C'est une véritable prise de pouvoir d'un pays par la mafia de la drogue ... contre la volonté de son peuple.
Mais la puissance de l'argent de George Soros l'emporte sur la population maintenant asservie... TEMPORAIREMENT car on ne peut imaginer un peuple à ce point manipulé.
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Cannabis légal en Uruguay : la difficile application de la loi - Le Point
Le Point.fr - Publié le 14/12/2013 à 10:19 - Modifié le 14/12/2013 à 11:04
Cannabis légal en Uruguay : la difficile application de la loi
Les autorités disposent de 120 jours pour rédiger les décrets d'application qui régiront la culture, la distribution et la vente du cannabis.
L'Uruguay a adopté un projet de loi autorisant la culture, la vente et l'usage de cannabis. © Pablo Porciuncula / AFP
- Quelles variétés de cannabis seront cultivées ? Où ? Par qui ? Comment cultivateurs et consommateurs seront-ils contrôlés ? Après le vote de la loi légalisant la marijuana en Uruguay, le gouvernement doit désormais relever l'immense défi de la mise en oeuvre d'un texte unique au monde. Après la promulgation du texte adopté mardi par le Parlement, promise pour ces prochains jour par le président José Mujica, les autorités disposeront de 120 jours pour rédiger les décrets d'application qui régiront la culture, la distribution et la vente du cannabis et de ses dérivés, à des fins récréatives, médicales ou industrielles, sous autorité de l'État.
"Nous devons établir sept types de licences différents : pour produire, pour collecter et distribuer, pour vendre en pharmacie, pour réguler les usages médicaux, pharmaceutiques et cosmétiques", a détaillé devant la presse au lendemain du vote Julio Calzada, secrétaire national du Bureau national des drogues (JND), en charge de l'application de la loi.
Les différentes habilitations devraient être accordées d'ici à avril 2014, et la vente en pharmacie pourrait démarrer d'ici le second semestre de l'année prochaine. La vente en officine sera limitée à 40 grammes par mois par consommateur (majeur et résident uruguayen), qui devra auparavant s'inscrire sur un registre national des usagers.
De 128 000 à 200 000 usagers
La plantation sera "progressive, avec l'objectif de satisfaire tout le marché local", a ajouté le responsable, calculant qu'une dizaine d'hectares devraient suffire à couvrir la demande de 128 000 à 200 000 usagers, selon les sources, pour 3,3 millions d'habitants.
Les surfaces ou quantités consommées sont toutefois sujettes à caution, et les estimations officielles ont plusieurs fois varié au fil des mois. Le prix de vente du cannabis légal s'établirait à environ "1 dollar le gramme" (0,75 euro), peu ou prou le prix pratiqué au marché noir. Julio Calzada a également précisé cette semaine qu'un système de traçabilité des plantes seraient mis en place, afin d'en contrôler l'origine et la quantité.
La loi prévoit qu'outre l'achat en pharmacie les consommateurs pourront opter pour l'autoculture, dans la limite de 6 plants et 480 grammes par an, ou l'adhésion à des clubs de producteurs, de 15 à 45 membres et 99 plants. Chaque usage devra faire l'objet d'une inscription au registre national, et il sera impossible de cumuler plusieurs mode d'accès au produit.
Interdit aux touristes
Le ministre des Affaires étrangères, Luis Almagro, a rapporté mercredi que plusieurs ambassades uruguayennes avaient reçu des demandes d'information concernant les procédures d'acquisition de la résidence dans le pays, les touristes étant exclus du système. La mise en place des textes sera suivie de près par les organisations pro-légalisation, ont-elle annoncé.
"Bien que ce soit une loi très solide, tout le développement de l'appareil administratif représente un défi. Notre rôle sera d'accompagner un processus transparent qui garantisse sécurité et qualité aux usagers", a ainsi expliqué Victoria Verrastro, de l'organisation Régulation responsable, à l'origine de plusieurs campagnes de soutien à la loi.
Mais l'opposition de droite a mis en garde sur les difficultés à réaliser les contrôles nécessaires au respect des textes. "Le gouvernement ne dispose pas des mécanismes pour contrôler, sanctionner et surveiller, et il n'y a pas non plus de mécanismes pour venir en aide à ceux qui deviendraient dépendants", a ainsi affirmé la députée du Parti national Veronica Alonso. En outre, "cette loi n'apporte pas de solution au problème du trafic de drogues et de la sécurité", a-t-elle assuré.
60 % des Uruguayens opposés à la loi
Peu avant le vote, le président Mujica avait admis que le gouvernement n'était "pas totalement préparé", mais avait demandé "l'audace" d'appliquer cette loi pionnière.
En septembre, un sondage indiquait que plus de 60 % des Uruguayens étaient opposés à cette loi.
Julio Calzada, de son côté, s'est voulu optimiste : "Si nous contrôlons 11 millions de têtes de bétail (l'Uruguay est un très important producteur de viande bovine, NDLR), il est très probable que nous puissions contrôler quelques plantations de cannabis."
Article typique sur ce site vous délirez totalement: donc selon vous il y aurait une conspiration de la Mafia et de G. Soros pour contrôler l'esprit des citoyens de ce pays???? et puis le reste du monde On rêve!! Les Uruguayens n'ont surement pas attendu le vote de cette loi pour fumer du cannabis. Contrairement à ce que vous pensez les fumeurs de cannabis ne sont pas des êtres manipulables qu'il faut sauver du mal à tout prix. Je remarque également que vous fantasmez sur un cannabis qui transformerait les consommateurs en zombi sans cervelle, il s'agit également d'un de vos délires. Ça nuit profondément à votre cause, car cela décrédibilise votre discours puissance 1000, vous n'êtes pas sérieux. Dans ce cas si je délire également: Que dire des lobbys alcoolier qui ont asservi la population mondiale. mais ça chut on ne parle pas de ça, ça se trouve M. le professeur Costentin travaille pour eux... (humour) en réfléchissant ça ferait beaucoup de concurrence à l'alcool de voir débarquer légalement le cannabis...
Rédigé par : Joey | 16 décembre 2013 à 17:12
Cher Joey ,
Oui Soros veut légaliser l'usage de la drogue dans le monde , dans le monde entier. Tout le monde est au courant.Pourquoi pensez vous qu'il ait investi depuis plus de 20 ans presque demi milliard de dollards sur ses fonds via ses fondations, si ce n'est parce qu'il est le grand argentier de l'argent sale qui lui est confié. Il veut légaliser c'est le combat de sa vie qu'il est entrain de gagner en amérique latine ou les narco dollards sont les plus puissants.Nous tentons d'endiguer cette main-mise de l'argent de la drogue pour l'Europe et la France en particulier.Nous hélas nous ne rêvons pas, bien au contraire.Un vieil article en parlait déjà en 2008.
Brésil : George Soros veut légaliser la drogue
La rédaction
samedi 16 août 2008
15 août 2008 (LPAC)
– Ces derniers mois, le méga-spéculateur britannique George Soros a renforcé ses positions capitalistiques au Brésil, achetant de nombreuses actions de Petrobras, géant du pétrole, et de Vale, géant minier. Tout cet argent attire de nouveaux amis.
Ainsi, au mois d’avril dernier, la « Commission latino-américaine pour la drogue et la démocratie » a vu le jour sous la direction de Fernando Cardoso qui fut président brésilien de 1995 à 2003 et grâce aux financements directs de Soros.
Partant du constat de l’échec des politique d’éradication de la culture de la drogue et de leurs couts « exhorbitants », la commission estime plus intéressant d’opter pour la décriminalisation de la drogue, terme moins choquant que le mot légalisation.
Soros a réussi à attirer une palette de personnalités prestigieuses pour donner un semblant de respectabilité à son opération : Cesar Gaviria, l’ancien président colombien, ainsi que l’ancien président du Mexique Ernesto Zedillo ont accepté de faire partie de la commission.
Parmi les principales organisations ayant contribué à la fondation de cette commission, on trouve l’Open Society Institute de George Soros et l’ONG Viva Rio, également financée par lui.
La commission sera dirigée par des membres du Transnational Institute d’Amsterdam, une organisation elle aussi financée par Soros, actuellement très engagé en faveur de la légalisation de la vente de l’opium en Afghanistan.
En Amérique Latine, le Transnational Institute et l’Open Society Institute avaient mobilisé les producteurs de coca dans les années 90 pour qu’ils se battent pour la légalisation. Un des dirigeants de cette bataille fait aujourd’hui partie de la commission.
Parmi les autres membres notons la présence d’un ancien directeur du Fonds mondial pour la nature WWF Brésil ainsi qu’un ancien candidat à la présidentielle du Pérou, en occurrence un libéral forcené dont la campagne avait été conseillé par Lord Mark Malloch Brown, grand ami de George Soros et Barack Obama.
L’objectif de la commission est de provoquer une révolution philosophique au sujet de la drogue. Il s’agit d’en finir avec la vision « américaine », qui consiste à vouloir faire une « guerre à la drogue » en substituant notamment la production de la drogue avec des productions vivrières, pour « évoluer » vers la vision anglo-hollandaise qui consiste —empire oblige— à abandonner toute lutte contre le trafic et de se concentrer à « limiter les dégâts » de ce qu’on prétend être simplement une phénomène sociologique qu’on essaye de gérer pour le mieux.
Rappelons que le siège du Quantum Fund Nv de Soros se trouve dans les Antilles néerlandaises, un paradis fiscal notoire pour le blanchiment d’argent sale.
La mafia de Soros espère imposer sa vision dans les débats lors de l’Assemblée générale de l’ONU cet automne.
Rédigé par : Pierre | 17 décembre 2013 à 16:32
Soit. Soros souhaite la légalisation du cannabis (tout comme plus de 50% des américains selon les derniers sondages). Mais pourquoi alors diaboliser Soros et plus de 50% des américains. Vous allez me dire que je répète les arguments de Soros mais les chiffres sont là et sont implacables: 40 ans d'échec de la prohibition, 40 ans que les mafias s'enrichissent exponentiellement en asphyxiant les gouvernements dans certains pays, 40 ans que des gens meurt dans cette "guerre à la drogue" (plus de 50000 morts au Mexique en 6 ans, bien plus que les décès liés à la consommation de drogue!!), des dizaine de milliers de consommateurs en prison et ce n'est pas la faute de Soros!!, c'est la faute de toutes les personnes hypocrites qui considèrent de façon dogmatique que la prohibition du cannabis est la seule voie valable... Je suis désolé de le dire mais Pierre vous faites parti de ces personnes vous êtes responsable de cet échec. Il est maintenant temps de passer à une autre méthode ou au moins à son expérimentation: la légalisation. Je me demande comment vous pouvez fermer les yeux sur ces 40 années d'échec total... Le cannabis est plus présent que jamais et il alimente les mafias, savez vous qu'un étudiant sur deux a déjà consommé du cannabis et c'était déjà le cas à mon époque (1998-2001)!! Dans 30 ans avec le renouvellement des génération nous aurons 50% de la population française qui aura goutté à une drogue pour laquelle dans les textes un citoyen risque un an de prison!! C'est dingue non? Pourquoi ne pas le considérer comme l'alcool? Jusqu'à preuve du contraire il n'y a pas de mafia de l'alcool en France et pourtant cette drogue est fortement addictive et destructrice et génère également des milliard d'euros par an. Pour conclure et vous rassurer je considère le cannabis comme une drogue il faut donc protéger les personnes vulnérables, ce que ne fait pas le législateur dans l'état actuelle de la loi française (c'est une honte!). En simplifiant: Je propose un encadrement du commerce comme l'alcool avec un fort développement de la prévention des risques à la consommation du cannabis. Je suis réaliste tout comme l'alcool (interdit à la vente au mineurs) cela n’empêchera pas des mineurs de consommer mais la prévention sera beaucoup plus forte, les revenus iront directement dans les poches de l'état.
Rédigé par : Joey | 18 décembre 2013 à 14:11
Non toujours pas d'accord.
Donner la possiblilté à la maffia de blanchir son activité est irresponsable et irrespectueux.
Encore une fois la dépénalisation et la légalistion de facto du cannabis dans les 4 pays connus Esp GB B et Hollande ont eu des conséquences catastrophiques. Ils sont tous revenus en arrière et ont repénalisé.Dans cette période les conséquences ont été catastrophiques délinquance maladies accidents déliquescence sociale. Les maffieux se sont renforcés et concentrés sur ces pays. Même la Hollande ferme les coffee shoops.L'exemple donné par la réalité de ces malheureuses expériences ne parvient pas à vous convaincre. La fausse lutte contre le tabac en France et ses vitimes premières, les addos , ne vous convainc pas.Le partage des bénéfices industrie du tabac - Etat que vous voyez se dérouler sous vos yeux ne vous convainc pas.Pourtant d'autres pays s'envolent vers la liberté et la santé Nouvelles Zélande ,Scandinavie , Australie. Peu de délinquance, santé financière, qualité des résultats dans l'enseignement.Pays de progrès et de liberté, pays écologiques ( la vraie écologie) et sportifs.
Vous souhaitez l'opposé pour la France ; désolé mais vous êtes ringuard
Rédigé par : Pierre | 18 décembre 2013 à 15:05