Extrait de la Dépêche du Midi du 26 / 11/ 2013
Journal dont le propriétaire est le président des radicaux de gauche, J.-M. Baylet ; grand chantre de la légalisation du cannabis.
Voila comment son journal relate les sévices qu’un père a fait subir à son tout jeune fils
……………L’enfant a été sorti de l’appartement que son père, ambulancier âgé de 40 ans, occupe seul. Dans le logement, aucune trace de lutte ou de sang n’a été découverte. Une fois dehors, le père aurait jeté son fils du haut d’une terrasse qui surplombe des parkings. Puis son père serait descendu, l’aurait saisi par les pieds et lui aurait fracassé le crâne à plusieurs reprises contre le bord d’un trottoir. Une scène d’horreur.
«Face à un acte aussi terrible et incompréhensible, beaucoup de choses restent à faire pour essayer de comprendre», a souligné hier le procureur Michel Valet. De nombreuses analyses sont en cours pour déterminer si le suspect avait bu ou s’il avait consommé des drogues avant le drame. Hier soir, ces résultats restaient inconnus. Lors des perquisitions, des plants de marijuana, chauffés et ventilés, ont été découverts dans l’appartement. Ce qui ne prouve pas grand-chose……….(sic)
Outre une écriture faisant dans la répétition et dans une ponctuation que je me suis appliqué à corriger, je constate, une fois de plus, que quand la logique dérange, il suffit d’y substituer le doute.
Si j’avais un abonnement à ce journal, ou ma carte au parti radical de gauche, je romprais immédiatement avec ces deux égarements
Pr. Jean Costentin
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Explications de la désinformation:
Premier temps : le 26 novembre
- Le père cultive de la marijuana à son domicile " ce qui ne prouve pas grand chose".
Second temps : le 27 novembre
-la ficelle est trop grosse il faut donner des expicationq "il consommerait de la drogue.Est-ce la l'explication ? Une décompensation après avoir fumé de la marijuana est possible.Les enquêteurs pensnet davantage à une drogue de synthèse ".
Il est important de remarque que le mot cannabis n'est jamais employé et qu'à chaque fois la conséquence de sa consommation est sytématiquement balayée par le journalistes .
M.Baylet peut être satisfait de ses journalistes.
Circulez ! il n'y a rien à voir !
Vous pouvez ainsi imaginer la manipulation que peut exercer l'ANPAA dans ses interventions au sein des établissements scolaires: Le cannabis est un médicament il est n'est pas nocif dans son usage festif et " bien contôlé".
Tant que cette manipulation continuera dans les médis et dans les établissements scolaires beaucoup de petits enfants risquent la mort..
Pierre Beyries
CNID32.
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Les 2 articles manipulateurs
http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/27/1762011-pere-infanticide-toulouse-homme-normal-face-crime-fou.html
Un père soupçonné d'avoir fracassé le crâne de son fils de 4 ans à Toulouse
Publié le 26/11/2013 à 07:37, Mis à jour le 26/11/2013 à 10:55 | 92
infanticide

Un homme a été arrêté dans la nuit de dimanche à lundi, à Toulouse. Il est soupçonné d’avoir fracassé le crâne de son fils de 4 ans. Un drame pour l’instant incompréhensible.
Un sourire entier, rieur. Un petit garçon heureux saisi par un appareil photographique. Un enfant «si mignon» que certains voisins croient avoir entendu supplier la nuit dernière, à Toulouse. Il était environ 2 heures et l’horreur se jouait sous les fenêtres d’un petit ensemble d’immeubles de cinq étages. Une résidence calme à La Terrasse, quartier tranquille dans l’est de Toulouse. Policiers et pompiers ont été alertés peu après 2 heures par différents témoins. Il fallait se presser, un père frappait son fils. Quand les premiers policiers sont arrivés, ils ont eu affaire à un homme surexcité, très agressif et à un petit garçon en culotte et tee-shirt, le crâne fracturé.
Le temps de maîtriser l’homme qui leur faisait face, une mission compliquée - deux policiers ont été blessés - les fonctionnaires ont porté les premiers soins, bouche-à-bouche et massage cardiaque. Les pompiers et une équipe du Smur pédiatrique ont pris le relais mais le petit garçon est mort sur place. L’autopsie pratiquée hier a confirmé «un important fracas crânien», selon le procureur Michel Valet. Mais l’examen médico-légal n’a pas mis en exergue des traces de coups plus anciennes.
Que s’est-il passé avant l’intervention des secours ? Les enquêteurs de la brigade de protection des familles, en charge des investigations, ont réalisé de nombreuses constatations et entendus voisins et témoins qui ont donné l’alerte. L’enfant a été sorti de l’appartement que son père, ambulancier âgé de 40 ans occupe seul. Dans le logement, aucune trace de lutte ou de sang, n’a été découverte. Une fois dehors, le père aurait jeté son fils du haut d’une terrasse qui surplombe des parkings. Puis son père serait descendu, l’aurait saisi par les pieds et lui aurait fracassé le crâne à plusieurs reprises contre le bord d’un trottoir. Une scène d’horreur.
Il aurait mordu la mère de l'enfant
«Face à un acte aussi terrible et incompréhensible, beaucoup de choses restent à faire pour essayer de comprendre», a souligné hier le procureur Michel Valet. De nombreuses analyses sont en cours pour déterminer si le suspect avait bu ou s’il avait consommé des drogues avant le drame. Hier soir, ces résultats restaient inconnus. Lors des perquisitions, des plants de marijuana, chauffés et ventilés, ont été découverts dans l’appartement. Ce qui ne prouve pas grand-chose.
La mère de la petite victime, qui réside à Castanet-Tolosan, a été hospitalisée, effondrée après l’annonce du décès de son fils unique. Hier après-midi, elle a pu quitter le service de soins pour être entendue par les policiers de la sûreté départementale. Séparée du père de l’enfant depuis plus d’un an, elle lui avait confié leur fils vendredi soir comme un week-end sur deux. À cette occasion, le père lui aurait mordu le visage. Un geste suffisamment agressif pour que la mère porte plainte à la gendarmerie samedi matin…. mais en demandant de ne rien accomplir en attendant de récupérer son fils. «Ce signalement aux gendarmes n’est pas à l’origine du drame», a d’ailleurs précisé le procureur. Alors quel mobile, quelles explications ? C’est l’objet de l’enquête en cours.
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Père infanticide à Toulouse : un homme «normal» face à un crime épouvantable
Publié le 27/11/2013 à 07:49, Mis à jour le 27/11/2013
Hospitalisé d’office lundi en fin de journée, l’homme accusé du meurtre de son fils ne s’est pas vraiment expliqué. Et sa personnalité n’est pas celle d’un homme violent.
Au-delà de l’horreur, les questions. Au lendemain de la mort du petit garçon de 4 ans, tué lundi au cœur de la nuit à Toulouse, beaucoup s’interrogent sur ce geste fou et sur l’homme soupçonné, le propre père de la victime. Âgé de 40 ans, David G. est depuis lundi soir entre les mains des équipes de soins de l’hôpital Marchant comme nous l’annoncions dès hier.
Cette décision médicale n’entraîne, pour l’instant, ni la fin de l’enquête, ni la fin des poursuites. En effet l’expert psychiatre mandatée, Geneviève Peresson, a estimé la garde à vue incompatible en raison du danger «pour lui-même et autrui» du suspect. Mais l’expert a pris le soin de ne pas se prononcer sur l’état de cet homme au moment du drame. Une précaution qui laisse des poursuites possibles, surtout si cet homme retrouve son esprit.
Marijuana et, ou, drogue de synthèse
Aussi incroyable que cela puisse paraître, cet ambulancier sans histoire qui voulait ouvrir une salle d’arts martiaux vietnamien - il est ceinture noire 4e dan de Vo Thuat - n’a jamais fait parlé de lui avant la nuit tragique. Inconnu du fichier police STIC, service de traitement des infractions constatées, son casier judiciaire est vierge. Il n’a jamais été hospitalisé pour des problèmes de comportement. «Inconnu de tout le monde», glisse un proche du dossier.
Du côté des enquêteurs qui essayent de reconstituer sa vie, aucune mauvaise surprise pour l’instant. Même s’il s’en est défendu face aux policiers, David G consommerait de la drogue. Est-ce là l’explication ? Une décompensation après avoir fumé de la marijuana est possible. Les enquêteurs pensent davantage à la consommation d’une drogue de synthèse. Seuls les résultats des analyses, qui pourraient prendre du temps, permettront d’éclairer cette partie importante de l’enquête.
Aujourd’hui, le parquet de Toulouse va ouvrir une information judiciaire. Probablement pour «homicide aggravé sur mineur de moins de 15 ans, crime puni de la réclusion criminelle à perpétuité. Philippe Colson, doyen des juges d’instruction, va être saisi. Il aura la charge de progresser dans la compréhension de l’incompréhensible.
Comprendre comment un homme que ses voisins décrivent comme «normal» a ainsi pu basculer. Séparé depuis juillet 2012 de la mère de la petite victime, il a été décrit par une ancienne petite amie croisée pendant l’été comme «plutôt gentil». Loin de l’individu en furie avec lequel les policiers ont dû littéralement se battre avant d’enfin le maîtriser. Un homme aujourd’hui soupçonné d’avoir tué son propre fils, dans une scène dont la violence effraie tous les témoins du crime.
Président du C.N.P.E.R.T
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